DIRECT. Cyclone Chido à Mayotte : « certainement plusieurs centaines » de morts, un avion avec du matériel de secours a atterri
24 heures après le passage du cyclone Chido sur l’île de l’océan indien la situation, encore difficile a évaluer, s’annonce dramatique pour les habitants. Le ministre démissionnaire de l’Intérieur Bruno Retailleau est attendu ce soir à Mayotte
Par sudouest.fr .
La Ville de Marseille protège l'église Saint-Maurice de la démolition
Bruno Retailleau
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Bruno Retailleau en 2019.FonctionsMinistre de l'IntérieurEn fonction depuis le 21 septembre 2024
(2 mois et 25 jours)PrésidentEmmanuel MacronPremier ministreMichel BarnierGouvernementBarnierPrédécesseurGérald DarmaninPrésident du groupe UMP puis Les Républicains au Sénat7 octobre 2014 – 30 septembre 2024
(9 ans, 11 mois et 23 jours)Élection7 octobre 2014Réélection27 septembre 2017
30 septembre 2020
27 septembre 2023PrédécesseurJean-Claude GaudinSuccesseurMathieu DarnaudSénateur français1er octobre 2004 – 1er octobre 2024
(20 ans)Élection26 septembre 2004Réélection28 septembre 2014
27 septembre 2020CirconscriptionVendéeGroupe politiqueRASNAG (2004-2011)
UMP (2011-2015)
LR (2015-2024)SuccesseurBrigitte HybertPrésident du conseil régional des
Pays de la Loire4 janvier 2016 – 30 septembre 2017
(1 an, 8 mois et 26 jours)Élection18 décembre 2015PrédécesseurJacques AuxietteSuccesseurFrançois Pinte (intérim)
Christelle MorançaisPrésident du conseil général de la Vendée31 octobre 2010 – 2 avril 2015
(4 ans, 5 mois et 2 jours)Élection30 novembre 2010Réélection31 mars 2011PrédécesseurPhilippe de VilliersSuccesseurYves AuvinetVice-président du conseil régional des
Pays de la Loire28 mars 1998 – 2 avril 2004
(6 ans et 5 jours)Élection28 mars 1998PrésidentFrançois Fillon
Jean-Luc HarousseauDéputé français27 novembre 1994 – 21 avril 1997
(2 ans, 4 mois et 25 jours)Élection27 novembre 1994Circonscription4e de la VendéeLégislatureXe (Cinquième République)Groupe politiqueNIPrédécesseurPhilippe de VilliersSuccesseurPhilippe de VilliersConseiller général de la Vendée6 octobre 1988 – 1er avril 2015
(26 ans, 5 mois et 26 jours)CirconscriptionCanton de Mortagne-sur-SèvrePrédécesseurGérard BrossetSuccesseurCécile Barreau
Guillaume JeanBiographieNom de naissanceBruno Daniel Marie Paul RetailleauDate de naissance20 novembre 1960(64 ans)Lieu de naissanceCholet (France)NationalitéFrançaiseParti politiqueMPF (1994-2010)
UMP (2012-2015)
LR (depuis 2015)Diplômé deIEP de Paris
Nantes UniversitéProfessionDirigeant de sociétéReligionChrétien catholiquemodifier
Bruno Retailleau, né le 20 novembre 1960 à Cholet (Maine-et-Loire), est un homme politique français, ministre de l'Intérieur dans le gouvernement Michel Barnier depuis le 21 septembre 2024.
Élu en 1988 au conseil général de la Vendée (qu'il présidera de 2010 à 2015), il a été député de 1994 à 1997 puis sénateur de la Vendée de 2004 à 2024 et président du conseil régional des Pays de la Loire de 2015 à 2017.
D'abord membre du Mouvement pour la France de Philippe de Villiers, qu'il quitte en 2010, il adhère à l'UMP (devenu Les Républicains) dont il préside le groupe au Sénat de 2014 à 2024 et dont il échouera à devenir président en 2022 face à Éric Ciotti. Il est également président du club de réflexion politique Force républicaine depuis 2017.
Famille et études
Syrie : Bachar al-Assad « a fui » en Russie, scènes de liesse en Syrie et en Europe… Revivez les évènements de ce dimanche
Ce dimanche, les rebelles menés par des islamistes radicaux ont annoncé la chute du président Bachar al-Assad et la « libération » de la capitale Damas, après une offensive fulgurantePar SudOuest.fr.
Scène de célébration à Damas © Crédit photo : LOUAI BESHARA / AFP
Guerre civile en Syrie : Fuite de Bachar al-Assad, prise de Damas… Le point sur la chute de la dictature
RÉCAP•« 20 Minutes » fait le point sur la journée de ce dimanche en Syrie qui a vu la chute de Bachar el-Assad et la prise de Damas par les rebelles islamistes
Une femme a perdu la vie ce mercredi matin, après avoir chuté sur les rails du métro marseillais. Après une longue interruption de la ligne entre Périer et Dromel, la circulation a partiellement repris.
L'alerte a sonné à 8h30. Le Bataillon des Marins-pompiers de Marseille s'est rendu station Rond-Point du Prado pour secourir une personne tombée sur les rails, puis percutée par le métro. Il s'agit d'une femme d'une quarantaine d'années, retrouvée en arrêt cardio-respiratoire. Elle n'a pas pu être ranimée par les secours.
On ne connaît pas encore la nature exacte de la chute, accidentelle ou intentionnelle. Une analyse de la vidéo-surveillance devrait rapidement être réalisée par les équipes de la RTM, en charge du réseau.
Après une longue interruption de la ligne entre les arrêts Périer et Sainte-Marguerite, le service a partiellement repris. Seule la station Rond-Point du Prado n'est pas desservie.
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En Syrie, la chute de Bachar Al-Assad, président par accident, modernisateur raté et despote sanguinaire
Lecture : 14 min.
Cruelle ironie de l’histoire : l’homme aux mains poissées de sang, qui s’est enfui dimanche 8 décembre, après avoir passé un quart de siècle aux commandes de la Syrie, après avoir brisé son peuple et broyé son pays, n’était pas destiné au pouvoir. Né en 1965, à Damas, deuxième fils du président Hafez Al-Assad et de son épouse Anissa Makhlouf, Bachar Al-Assad devait être ophtalmologue. Après une enfance sans histoire, son diplôme de médecine en poche, le jeune homme, que l’on décrit à l’époque comme modeste et travailleur, était parti faire sa spécialité à Londres. La succession du paternel à la tête de l’Etat était réservée à l’aîné de la fratrie, Bassel. Tout le contraire de Bachar : un fort en gueule, fameux pour ses talents de cavalier et ses succès auprès des femmes.
- Des factions rebelles avaient annoncé, samedi, avoir « commencé à encercler » la capitale Damas, après avoir pris le contrôle de la province méridionale de Deraa, dans la foulée d’une offensive fulgurante qui a contraint les forces gouvernementales à abandonner plusieurs positions stratégiques. Dans le centre de la Syrie, les rebelles assurent qu’ils ont pris le contrôle de Homs, la troisième ville de la Syrie.
- Le premier ministre syrien, Mohammad Ghazi Al-Jalali, s’est dit prêt à travailler avec les nouveaux maîtres du pays, précisant qu’il serait, dimanche matin, dans ses bureaux au siège du gouvernement pour toute procédure de « passation » de pouvoir : « Ce pays peut être un pays normal, construisant de bonnes relations avec ses voisins et avec le monde (…), mais cette question sera du ressort de tout leadership que choisira le peuple syrien, et nous sommes prêts à la coopération et à lui apporter toutes les facilités possibles. »
- Le 27 novembre, une coalition de rebelles, menée par le groupe armé islamiste Hayat Tahrir Al-Cham (HTC), a lancé une offensive à partir de son fief à Idlib (Nord-Ouest), s’emparant de dizaines de localités et des villes stratégiques d’Alep (Nord) et de Hama (Centre). Il s’agit de l’avancée la plus spectaculaire en treize ans de guerre en Syrie.
- Le conflit a été déclenché après la répression d’un soulèvement populaire qui a dégénéré en guerre civile en 2011. Il a fait plus d’un demi-million de morts et a morcelé le pays en zones d’influence avec des belligérants soutenus par différentes puissances étrangères. Principale alliée du pouvoir syrien, la Russie, qui dispose de bases militaires en Syrie, a appelé ses citoyens à quitter le pays, de même que les Etats-Unis et la Jordanie voisine. Autre soutien clé du régime, Téhéran a aussi commencé à évacuer son personnel militaire et des diplomates, selon le New York Times.
- Dans ce contexte, une réunion consacrée à la Syrie a débuté samedi à Doha entre les chefs de la diplomatie turque, russe et iranienne, dont les pays sont partenaires depuis 2017 du processus d’Astana, lancé pour faire taire les armes.
Nos contenus sur le sujet :
- Le déroulé des événements jusqu’à la chute de Bachar Al-Assad
- Le point sur la situation samedi 7 décembre à 23 heures
En direct, chute de Bachar Al-Assad en Syrie : le dirigeant a quitté le pays, posez vos questions à notre éditorialiste
Moscou affirme que le président syrien a « démissionné de son poste » et quitté la Syrie, après l’offensive fulgurante de groupes rebelles menés par des islamistes radicaux qui a mis son armée en déroute. Notre journaliste Gilles Paris, éditorialiste au Monde, répondra à vos questions partir de 15 h 30.
Notre-Dame de Paris : Donald Trump et Volodymyr Zelensky ont quitté l'Elysée après une réunion avec Emmanuel Macron
Des dizaines de chefs d'Etat sont réunis à Paris pour assister aux célébrations de la réouverture de la cathédrale. Avant la cérémonie de samedi soir, des rencontres diplomatiques sont organisées.
Ce qu'il faut savoir
L'inauguration de Notre-Dame prend un tour diplomatique. Avant la cérémonie, samedi 7 décembre, Emmanuel Macron a reçu à l'Elysée le président-élu des Etats-Unis, Donald Trump, qui a rappelé leurs "excellentes relations". Le chef de l'Etat a ensuite réuni le milliardaire américain et le président ukrainien Volodymyr Zelensky, qui ont pris en début de soirée la direction de la cathédrale. Suivez notre direct.
UNE FRÉGATE RUSSE ARMÉE DE MISSILES HYPERSONIQUES NAVIGUE DANS LA MANCHE EN DIRECTION DE L'ATLANTIQUE
La Manche sous étroite surveillance. Une frégate de la marine russe équipée de missiles de croisière hypersoniques de nouvelle génération effectue des exercices dans la Manche. Elle va poursuivre ces opérations dans l'océan Atlantique, selon un communiqué de presse de la flotte du Nord dévoilé par les agences de presse Tass et RIA.
"La frégate de la Flotte du Nord Amiral Golovko a achevé sa traversée de la Manche et continue actuellement des missions dans les zones de l'océan Atlantique", indique la marine russe.
Toujours selon le communiqué, ce navire effectue des exercices antiterroristes en s'entraînant à repousser des attaques de drones aériens et maritimes. Un entraînement qui sert de message à ceux qui voudraient attaquer ce bâtiment entré en service en 2023. Les autres objectifs de ce déploiement sont de "montrer le drapeau russe et d'assurer la présence navale russe dans des zones opérationnellement importantes de l'océan mondial", précise le communiqué de la flotte du Nord.
La région de Moscou et l'Ukraine visées par des attaques de drones d'une ampleur inédite
L'Ukraine a lancé dimanche une salve de drones sur la région de Moscou d'une ampleur inédite depuis le début de la guerre russo-ukrainienne, qui a fait au moins un blessé sans provoquer de dégâts majeurs, selon les autorités russes. Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a de son côté dénoncé sur X une nouvelle attaque "record" de 145 drones russes ayant visé l'Ukraine dans la nuit de samedi à dimanche.
Des attaques de drones d'une ampleur inédite ont visé, dans la nuit du samedi 9 au dimanche 10 novembre, l'Ukraine et la région de la capitale russe Moscou, ont dénoncé les deux camps.
Le ministère russe de la Défense a affirmé avoir neutralisé dans la matinée 34 drones dans la région de Moscou, un nombre record dans le secteur de la capitale russe depuis le début du conflit entre la Russie et l'Ukraine en 2022.
Selon cette source, 36 autres drones ukrainiens ont été abattus dans deux régions limitrophes de Moscou et dans trois autres frontalières de l'Ukraine.
Le gouverneur de la région de Moscou, Andreï Vorobiov, a affirmé que les interceptions s'étaient notamment déroulées au-dessus des villes de Ramenskoïe et Domodedovo, à une quarantaine de kilomètres au sud-est du centre de Moscou et à proximité d'aéroports. Selui lui, une femme de 52 ans a été blessée par des éclats, brûlée au visage, au cou et aux mains, et deux maisons ont été incendiées.
Une attaque "record" de 145 drones sur l'Ukraine, selon Zelensky
Cette opération dans la banlieue de Moscou intervient quatre jours après une attaque massive de drones russes sur la capitale ukrainienne, visée quasiment quotidiennement depuis un mois.
Dans la nuit de samedi à dimanche, une nouvelle attaque "record" de 145 drones russes a visé l'Ukraine, a dénoncé sur X le président ukrainien Volodymyr Zelensky.
11-Novembre : Emmanuel Macron et le Premier ministre britannique Keir Starmer rendent hommage à Winston Churchill
Guerre en Ukraine : pourquoi l'armée russe cherche à conquérir un maximum de terrain ces prochaines semaines
La Russie a revendiqué, dimanche, la conquête d'un nouveau village dans la région ukrainienne de Donetsk. L'objectif est de progresser un maximum avant l'hiver et d'arriver en position de force pour d'éventuelles négociations de paix.
Commémoration du 11 novembre 2024
À l'occasion de la cérémonie du 11 novembre prochain, nous vous prions de bien vouloir trouver ci-dessous le message de Monsieur Sébastien Lecornu, ministre des Armées, et de Monsieur Jean-Louis Thieriot, ministre délégué auprès du ministre des Armées et des Anciens combattants.
C’était il y a 106 ans, en 1918. À la 11ème heure du 11ème jour du 11ème mois, de la boue des Flandres à la frontière suisse, les clairons égrènent les notes du « cessez-le-feu ». Aux fiertés de la victoire se mêle le cortège d’ombres des « péris en terre », accompagné de ceux qui les pleurent. Ce sont ces sacrifices que nous commémorons aujourd’hui, auxquels sont agrégés depuis 2012 celui de tous les « morts pour la France ».
Honorer leur mémoire, c’est écouter ce qu’ils nous disent encore aujourd’hui.
Ils nous laissent un devoir de gratitude, de lucidité et d’espérance.
Le devoir de gratitude, c’est tout simplement se souvenir du sacrifice de ces jeunes hommes, habités des promesses de la vie, qui ont consenti à tout donner pour que la France demeure. Les épreuves qu’ils ont traversées sont inimaginables.
Pour nous en imprégner, laissons la parole à un témoin, le général de Castelnau. Leur vie, c’était « marcher, marcher encore, marcher quand même à demi-mort de fatigue, trempé jusqu’aux os, transi de froid ou bien épuisé de chaleur et de soif dans l’air embrasé d’une journée torride (…). Gravir la pente du terrain sous le lourd fardeau du sac, charger baïonnette au canon dans le sifflement des balles, le crépitement des mitrailleuses et le mugissement des obus. Combattre le jour, combattre la nuit, veiller toujours ; mourir obscurément dans le sillon d’un labour ».
Le devoir de lucidité, c’est de ne pas oublier que 21 ans après que les canons se fussent tus, il a fallu reprendre les armes en 1939. La conjonction de la lâcheté et de l’aveuglement ont transformé la « der des der » en « armistice de vingt ans » pour reprendre les mots du maréchal Foch. À l’heure où la tragédie de la guerre a fait son grand retour en Europe, à l’heure où certaines puissances remettent en cause tous les fondements de l’ordre et du droit international, ceux de 14 et ceux de toutes les guerres nous murmurent de continuer à défendre la paix.
Le devoir d’espérance, c’est de ne jamais douter des ressources de la France pour venir à bout des défis qui se présentent à elle. La guerre change de visage, mais de génération en génération, les soldats de France demeurent animés de la même volonté de défendre l’honneur et la patrie.
En cette année du 80ème anniversaire de la Libération, souvenons-nous des soldats du commando Kieffer qui ont foulé les plages de Normandie le 6 juin 1944 ; souvenons-nous des soldats de la 1èrearmée de Lattre qui ont débarqué en Provence ; de ceux de la 2ème division blindée du général Leclerc qui depuis le désert, à Kouffra, sont remontés jusqu’à Strasbourg pour la libérer et accomplir leur serment ; souvenons-nous des héros de la résistance intérieure, mais aussi du calvaire des incorporés de force d’Alsace-Moselle, souvenons-nous du courage des parachutistes de Dien Bien Phu, de celui des soldats qui se battent en opération extérieure et notamment ceux du Liban qui y défendent la paix depuis 1978 : comment ne pas voir que ces combattants ressemblent comme des frères aux Poilus de 1914 ?
Au fil de notre histoire, les soldats morts pour la France, ceux tombés pour le service de la Nation, ou pour le service de la République nous disent les pérennités françaises. Toujours, nos armées sont là pour accomplir la mission.
C’est pourquoi, réunis au pied du monument aux morts, élus, anciens combattants de toutes les générations du feu, enfants des écoles, nous ne sommes pas seulement la garde des morts, nous sommes d’abord les sentinelles des vivants.
Vive la République !
Et vive la France !
Commemoration of November 11, 2024
Updated on
07/11/2024
On the occasion of the ceremony of November 11, please find below the message from Mr. Sébastien Lecornu, Minister of the Armed Forces, and Mr. Jean-Louis Thieriot, Minister Delegate to the Minister of the Armed Forces and Veterans.
It was 106 years ago, in 1918. At the 11th hour of the 11th day of the 11th month, from the mud of Flanders to the Swiss border, the bugles play the notes of the "ceasefire". The pride of victory is mixed with the procession of shadows of the "dead in the earth", accompanied by those who mourn them. These are the sacrifices that we commemorate today, to which have been added since 2012 that of all those who “died for France”.
To honour their memory is to listen to what they still tell us today.
They leave us a duty of gratitude, lucidity and hope.
The duty of gratitude is quite simply to remember the sacrifice of these young men, filled with the promises of life, who agreed to give everything so that France would remain. The trials they went through are unimaginable.
To immerse ourselves in them, let us give the floor to a witness, General de Castelnau. Their life was “to walk, to walk again, to walk all the same, half-dead with fatigue, soaked to the bone, frozen with cold or exhausted with heat and thirst in the burning air of a torrid day (…). Climb the slope of the terrain under the heavy burden of the sack, charge with bayonets to the cannon in the whistling of bullets, the crackle of machine guns and the roar of shells. Fight during the day, fight at night, always watch; die obscurely in the furrow of a ploughed field".
The duty of lucidity is not to forget that 21 years after the cannons had fallen silent, it was necessary to take up arms again in 1939. The combination of cowardice and blindness transformed the "war to end all wars" into a "twenty-year armistice" to use the words of Marshal Foch. At a time when the tragedy of war has made its grand return to Europe, at a time when certain powers are calling into question all the foundations of order and international law, those of 14 and those of all wars whisper to us to continue to defend peace.
The duty of hope is to never doubt France's resources to overcome the challenges that face it. War changes face, but from generation to generation, the soldiers of France remain driven by the same desire to defend honor and the homeland.
In this year of the 80th anniversary of the Liberation, let us remember the soldiers of the Kieffer commando who set foot on the beaches of Normandy on June 6, 1944; let us remember the soldiers of the 1st Army of Lattre who landed in Provence; those of the 2nd Armored Division of General Leclerc who from the desert, in Kouffra, went up to Strasbourg to liberate it and fulfill their oath; Let us remember the heroes of the internal resistance, but also the ordeal of the forced conscripts of Alsace-Moselle, let us remember the courage of the Dien Bien Phu paratroopers, that of the soldiers who fight in external operations and in particular those of Lebanon who have been defending peace there since 1978: how can we not see that these fighters resemble like brothers the Poilus of 1914?
Throughout our history, the soldiers who died for France, those who fell for the service of the Nation, or for the service of the Republic tell us of the French longevity. Our armies are always there to accomplish the mission.
This is why, gathered at the foot of the war memorial, elected officials, veterans of all generations of fire, school children, we are not only the guard of the dead, we are first and foremost the sentinels of the living.
Long live the Republic!
And long live France!
Regain de tensions entre le Kosovo et la Serbie après l'attaque d'un canal crucial pour l'approvisionnement en eau
Ce canal est également crucial pour le refroidissement de deux centrales thermiques. Le Kosovo accuse Belgrade d'avoir "orchestré" cette "attaque".
Un conseiller de Trump estime que l’Ukraine doit privilégier la paix plutôt que le territoire
Dans une interview accordée à la BBC, Bryan Lanza, un conseiller proche de Donald Trump, a affirmé que la priorité des États-Unis était « d’instaurer la paix et de mettre fin aux massacres » en Ukraine.
Par Marie Guermeur pour Le Point
Publié le 09/11/2024 à 23h47
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